2025, objectif lâcher prise
C’est mon moment pref’ de l’année, celui des bonnes résolutions ! Hé oui, 2025 pointe le bout de son nez ! Et comme à chaque fois, j’y vois l’occasion de faire mieux. Ou du moins différemment. J’ai tout un tas d’idées de résolutions, sans doute aidée par les vacances de Noël qui, bien qu’épuisantes, ont l’avantage certain de me sortir de ma routine et de m’inspirer plein d’envies. Donc en 2025, on va se concentrer sur… la détente du slip. On va apprendre à lâcher prise.
Ai-je tenu mes résolutions 2024 ?
Bon, déjà, voyons ce que j’avais décidé pour 2024. Activités et chouchoutage, on n’est pas trop mal. Je me suis toujours pas pointée chez la manucure mais la dernière fois que j’ai regardé ses tarifs, il était question de choisir différents types de manucure et moi, je n’y connais rien. Mais surtout, la grande résolution, c’était… me lâcher la grappe. Ah mince, c’est un peu la même que ce que je voulais pour cette année… Enfin, à une grosse nuance près. L’an dernier, j’étais en mode “fais les choses sans pression” et j’ai pas été si mal que ça sur ce point. Là, ça va être plus “soigne ton anxiété cocotte”. Bref en résumé, sur mes résolutions 2024 : plutôt des réussites même si je n’ai pas coché la case “écrire un journal” et “faire du stretching”. J’en ai à ma salle de sport en plus mais le timing actuel est un petit peu serré. Ce sera plus simple post déménagement de ma boîte.
Gérer son anxiété au mieux
Ok, 2024, je me suis fait bien plaisir et c’est chouette. Plus j’écris sur cette année qui s’achève, plus je la trouve cool, finalement. En 2025, je compte vraiment combattre mon anxiété car elle est, pour l’essentiel, cause de pas mal de mes malheurs. Lors de ma formation pour gérer le stress au printemps, ma coach m’avait dit “ah oui, toi, tu génères ton propre stress”. Parce que je me dis que c’est plus safe d’envisager le pire pour m’y préparer et ça me met dans des états. Là, par exemple, avant de partir au ski, j’ai pas trop voulu en parler de peur de dire “tout va bien se passer” et finalement me péter un truc. Les vacances m’ont stressée de fou car à prendre 4 trains, y en aurait forcément un qui allait déconner. Ce fut vrai. Mais comme on avait prévu une longue escale à Marseille “au cas où”, ça ne fut pas plus handicapant que ça. En cours de comédie musicale, je me fais reprendre sur mes tensions qui parasitent mon chant, par exemple. Ca et le trop plein d’énergie que j’y mets. Il va falloir canaliser.
Mes petits recettes maison
Canaliser ses angoisses, ok, mais comment. Je tombe encore trop facilement dans des boucles émotionnelles. Mes antidotes naturels : écrire pour se défouler, faire des activités manuelles pour me concentrer sur autre chose, aller me défouler au sport. Il faudrait sans doute que je me remette au yoga ou au stretching (on y revient), histoire d’apaiser les tensions. Autre point aussi : arrêter de procrastiner. Surtout niveau boulot. Non parce que les journées où je ne fous rien ou presque pour devoir rattraper soir ou week-end, ça va suffire. Surtout que ça me crée un sentiment d’urgence peu compatible avec mon envie de combattre mon anxiété chronique. Oui, mon métier me passionne moins que tout ce que j’ai plutôt envie de faire. Aka écrire, dessiner, regarder des vidéos… Mais c’est la vie. Se laisser porter par le courant plutôt que de lutter contre, c’est une clé pour atteindre mon objectif.
Ancre-toi dans le présent
Bref, pour lâcher prise, on défoule le corps, on apaise l’esprit, ok. Un autre point qu’il va me falloir travailler, c’est l’ancrage. De quoi ? Hé oui, je ne suis pas ancrée. Pas du tout. Ma psy du travail m’avait conseillé de travailler ça pour arrête de paniquer en allant imaginer le pire. On en revient toujours au même point, vous avez vu ? Je vis dans le futur ou le ressassage du passé. Un ruminement souvent inutile à base “mais y a dix ans, quand je me suis pris la tête avec un·e random dans la rue, j’aurais dû dire ci ou ça”. Oui mais
- Tu ne l’as pas dit et
- Tu oublies cette histoire 364 jours par an, pourquoi tu ressors un moment aigre comme ça de ta boîte à souvenirs ?
J’aime bien laisser mon esprit sans entraves m’amener sur certains chemins. Quelque chose que je retrouve pas mal avec le puzzle et qui va se poursuivre car ça m’aide pour écrire. Cependant, on va fermer quelques portes au cerveau. Surtout celles qui permettent à la petite voix vicieuse de me dire que je suis nulle en tant qu’être humain. Je dois trouver des techniques pour revenir au présent si mon cerveau va réécrire trop méchamment de vieilles histoires.
Hypnothérapie vs mes angoisses
Une option qui me titille pas mal, c’est l’hypnothérapie. Je sais, pseudo science, bla bla mais ça m’avait pas trop mal aidé la première fois. Même si mon “problème” initial avait été remplacé au bout de dix minutes. J’y suis allée pour soigner une “addiction au sucre”, l’hypnothérapeuthe m’a fait remarquer que j’en mangeais quasi pas et ça a fini au bout de trois séances par “je vais quitter Paris”. Une décision que je ne regrette pas une seule seconde. Donc je vais voir si j’en trouve une (féminin, oui) sur Bordeaux et voir si elle peut m’aider à guérir mes angoisses.
Lâcher prise et d’autres petits trucs
Bon voilà, le gros morceau pour 2025, c’est vraiment ça. Lâcher prise. Ne pas essayer de nager à tout prix à contre-courant ou me stresser pour rien. A ceci, je vais ajouter quelques petites ambitions supplémentaires :
- Me remettre au dessin vectoriel sur Affinity. Si je maîtrise le bail, j’aimerais initier une BD sur ce format, plutôt ma dystopie Footloose mais je détaillerai ça sur Raconte-moi des histoires.
- Bosser mon anglais, notamment via des thèmes et versions. En gros : j’ai chopé un livre en anglais à la gare de Mont Dauphin, je vais le traduire. Et je vais tenter de traduire quelques uns de mes articles, aussi. Evidemment, faudrait que je cause un peu aussi, je vais peut-être essayer de transcrire des séries anglophones pour m’habituer à écouter.
- Reprendre le Powerpoint art, continuer puzzles et bracelets brésiliens.
- Lancer ma boutique Etsy.
- Trouver un endroit pour courir et courir 1 km, puis deux… Oui, j’ai le lac mais là, il est tout boueux, c’est pas fou.
- Ne pas démissionner sauf opportunité avec un salaire qui commence à minima par 5, pas trop loin de chez moi. Et avec du télétravail.
Et on va commencer 2025 en beauté
Et sans doute d’autres idées mais là, c’est tout ce qui me vient. Demain, je ferai mes bonnes résolutions sur Raconte-moi des histoires et puis ce sera l’heure du réveillon. Au menu : rien mais le 1er janvier, brunch 4 étoiles à la Zoologie. Histoire de bien commencer l’année.
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