Evasion à Arcachon

Hello les amis ! Ici votre future influence girond(in)e. Et je suis très fière de ce jeu de mot qui va devenir ma bio sur les réseaux sociaux dès que j’aurai aménagé à Bordeaux, je vous préviens. Donc pour devenir influenceuse girond(in)e, je me prépare et je vais donc vous narrer ma semaine de vacances en Gironde, d’Arcachon à Bordeaux.

Besoin urgent de repos

Pour ces vacances fort méritées, je voulais d’abord du repos. Mon boulot est relou de ouf Et j’avais un besoin urgent de souffler. Surtout que j’aimerais bien voir l’état de ma tension au retour. Je rêvais donc de mer et de thalasso. Des massages, des piscines chaudes et la plage pour se promener, le cocktail gagnant. Hors période de covid. Car oui, les piscines et autres spas sont fermés donc bye  bye les doux rêves de massages supprimant mes multiples tensions et ma grande fatigue. Mais mer je veux, mer j’aurai. Après de multiples recherches et ayant Bordeaux en point de mire, on choisit donc Arcachon.

 Elegance de station balnéaire

Arcachon, je connais. Enfin, le pensais-je. En tant que fille de l’Occitanie, j’ai forcément passé du temps à Arcachon mais j’ai vite réalisé que je connaissais surtout la dune du Pilat dont je vous parlerai dans le prochain article et les plages. J’ai zéro souvenirs d’avoir mis les pieds dans la ville… et c’est fort dommage car c’est un festival architectural. J’avais vu ça avant de partir. Arcachon fait partie des grands stations balnéaires du début du XXIe siècle, avec Royan et La Baule. Je suis donc passée de « ah, c’est cool, on va se promener sur la plage » à « je veux voir les belles maisons ». La plupart étant au bord de la plage, j’ai fait une pierre deux coups. Et pour l’occasion, j’ai pris deux ou trois tenues de Playmobil élégantes pour une petite ambiance « vacances à la mer du début du XXe siècle ».

 Marcher dans le sable

Nous étions stationnés sur la plage du Pereire, un peu au sud d’Arcachon. Etant des aventuriers de la marche à pied, on décide donc de remonter vers le centre d’Arcachon via la plage. On avait déjà relié la gare à l’hôtel en passant par la ville, notamment le joli jardin mauresque que je n’ai pas photographié car nous n’y sommes pas retournés. La balade est super agréable, à quelques travaux près puisque c’est un peu étrange de croiser d’énormes pelleteuses sur la plage. Même si leurs sillons creusent d’étranges canyons qui font galoper mon imagination.

 Une ville hors de nos bourses mais si charmante

Les bords de mers regorgent de villas luxueuses et bien conservées dans lesquelles on adorerait vivre. Même si, je vous l’annonce, on n’aura pas les moyens. Car Arcachon est très bourgeois, ça se voit vite avec les grosses berlines, les tesla, ferraris et je ne sais plus quelles voitures on a croisées… Essentiellement parce que je n’aime pas les voitures. On a un peu jeté un œil aux agences immos à un million la jolie maison… et bien, on va pas acheter ça de suite. Voire jamais. N’en reste pas moins une élégance un peu passée qui m’a furieusement inspirée. Je sens que je vais orienter mon powerpoint art vers une sorte d’art de vivre 1900 à base de femmes en robes étroites et ombrelles en station balnéaire. Mmm, de l’inspiration… Ah oui, la charge mentale du boulot s’est évaporée, voilà que je fais des projets artistiques, c’est bon signe.

 En profiter hors saison

Bref, ces longues balades sur la plage, cette élégance surranée, nous ont charmé. Même si, vu le « monde » début mars, on n’ose imaginer l’état de la plage en été. Mais si tout va bien, on vivra, dans quelques mois, à une heure d’Arcachon en train, on pourra y aller facilement pour visiter la ville d’hiver et le jardin mauresque qu’on a à peine vu ou goûter un nouveau goût des glaces des Sorbets d’amour, chaîne de glacier qu’on a croisée un peu partout en Gironde. Ma nouvelle marque préférée du monde !