Marottes culturelles

Marottes culturelles

T’ai-je déjà parlé, cher lecteur, de mes obsessions culturelles ? Je crois pas non… Donc si tu es un peu attentif, tu dois te douter que je te parlerai de mes marottes culturelles. Et si tu n’avais pas capté, je t’invite cordialement à te prendre un petit café.

Un bon café chaud

Picorer au buffet de la culture

Je me considère souvent comme une pique-assiette de la culture. Je sais des tas de petites choses. Mais y a des sujets où j’ai de grosses, d’énormes lacunes. Voire une connaissance du sujet qui se mesure limite en négatif. Je picore, je picore. Et un jour, sans raison particulière, un met culturel excite mes papilles intellectuelles plus que de raison et je décide de me plonger à fond dans le sujet. Car une nouvelle marotte culturelle est née.

La culture est comme un buffet dans lequel j'aime piocher

Quand ça vire à l’obsession

Ça peut être tout et n’importe quoi. J’ai eu ma période légendes arthuriennes , bien avant la sortie de Kaamelott. Puis ma période Moravia, Barjavel, Extebarria. Ou mes récurrentes envies de culture russes ou italiennes… Des fois ça passe vite. Des fois ça reste assez solidement. Ce qui me permet au passage de m’adonner à l’un de mes pires vices : l’achat compulsif. Ben oui, des que je rentre dans une librairie, la carte bleue me démange. C’est pas ma faute… Et encore, je ne fais plus de tour au rayon CD ou DVD, ouf !

La librairie Ombre Blanche à Toulouse

A la chasse au savoir !

Mais j’aime bien me passionner pour un truc, fureter les rayons réels ou virtuels à la découverte d’un nouveau livre sur mon sujet du moment, regarder un film ou une série sur le sujet s’il y a… Par exemple, en 2013, j’ai deux marottes qui se dessinent :

Le surnaturel

Origine de cette nouvelle marotte : Supernatural. Dans laquelle je me suis récemment replongée. Force est de constater que je ne connaissais en fait pas du tout la série et je découvre alors que c’est pas juste l’histoire de deux frères bonnasses qui tuent des esprits et démons mais qu’il y a une trame un peu plus riche. Avec la guerre des anges, démons, tout ça. Or au tout début des années 2000, j’étais une accro de ce genre de trucs. Je lisais des mangas avec plein d’anges dedans. J’avais lu plein de trucs sur les anges et les démons. Une semi pro d’angéologie et de démonologie. Même que j’avais écrit pas moins de 3 romans dans le genre. Aucun de réexploitable en l’état mais bon… Quand j’était plus petite, jeune ado, j’étais accro au mystique. Je regardais avec passion toutes les émissions sur le surnature. Je lisais beaucoup sur le sujet. Là, j’ai envie de m’y remettre. Parce que finalement, étudier le surnaturel, ce n’est finalement rien de plus que de se pencher sur la mythologie. Nos religions ont finalement repris dans l’ensemble nombres de mythes païens réadaptés à leur sauce.

Le mythe de Persée

Batman

Il y a quelque chose qui me fascine chez Batman. Comment est-on passé d’un sympathique super héros en tenue mauve qui castagne en ziwiiiiii kaboomm plaf ! Au super héros super dark que t’as pas super envié de croiser la nuit dans la rue. Même quand t’as rien à te reprocher. Et accessoirement pourquoi Bruce Wayne est un mec aussi chiant et transparent ? Bien que je dois avouer que j’aime assez le parti pris de Nolan de Wayne qui joue le milliardaire alcoolo connard flambeur pour mieux dissimuler son double jeu. Ainsi, j’ai commandé l’encyclopédie Batman pour en savoir plus. Et si je la trouve bien, je passerai sur Superman. D’autant que je compte bien aller voir The man of the steel, le nouveau Superman. J’ai jamais trop aimé ce Super Héros, beaucoup trop lisse à mon goût. Mais y a Henry Cavill dedans, un autre de mes top crushes people.

Henri Cavill en Superman

De l’inconstance de la marotte

Ça va déjà bien m’occuper. Mais vous commencez à me connaître .J’ai dans mes marottes culturelles une incroyable inconstance. Peut-être que demain,  je vais me passionner pour autre chose. Et je vais peut-être me piquer d’architecture. D’histoire de la mode, de philosophie ou de développement personnel… L’avantage des marottes, c’est qu’on peut picorer à l’infini sans risque d’indigestion. Enfin pour moi parce que je sens que ma marotte telenovelas en 2012 à plus saoulé que passionné mon public. Quoi qu’il faudra que je vous en reparle tiens. Et vous plaignez pas, ça fait longtemps que j’ai pas parlé Ab production et soap opéras !

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