Les dunes de Corralejo et pépites du nord de Fuerteventura

Les dunes de Corralejo et pépites du nord de Fuerteventura

Le 17/08/2018 – Dernier jour complet à Fuerteventura et de grandes ambitions ! On va fureter au nord de l’Ile. Au menu : les dunes de Corralejo, peut-être un tour vers Lobos, El Cotillo et La Oliva. 

La plage de Corralejo, Fuerteventura

Les dunes de Corralejo… squattées par un tournage

Après un trajet sans intérêt, première difficulté : les dunes ne sont pas toutes accessibles pour cause de tournage de Wonder Woman 2. J’essaie de me garer un peu comme je peux (merci les panneaux toujours aussi utiles…). On se retrouve dans un espèce de coin paumé avec des trottoirs déformés et la plage visible au loin. Bon, on repart et on finit enfin par trouver. Waouh ! Alors petite particularité : à Fuerteventura (peut-être dans tous les Canaries, je ne sais pas), il n’y a pas de délimitations entre les plages “textiles” et les plages nudistes. Apparemment, Corralejo est une plage particulièrement appréciée par les naturistes. Il y avait des espèces de petits abris en pierre qui ressemblaient à ceux qui protégeaient les vignes à Lanzarote. Evidemment, ils sont tous squattés mais peu importe, il y a tant de place ! 

La plage de Corralejo, Fuerteventura La plage de Corralejo, Fuerteventura

Je fais trempette (Victor saute son tour mais moi, j’avais comme une urgence…), l’eau est meilleure qu’à Ajuy mais le fond de l’air est un peu plus frais, aussi. On se repose un peu, j’en profite pour écrire quelques lignes d’Uchronia sur mon téléphone histoire de graver ce joli souvenir dans ce roman.*

La plage de Corralejo, Fuerteventura La plage de Corralejo, Fuerteventura La plage de Corralejo, Fuerteventura

La douce plage d’El Cotillo

On repart pour une nouvelle mission ! Trouver une station essence. Merci Google Maps ! On quitte Corralejo pour rejoindre El Cotillo. J’avais envisagé au départ de faire un tour à Los Lobos avec un bateau à fond de verre mais il commençait à se faire un peu tard et nous avions faim. Puis nous étions un peu blasés par la partie extrêmement commerciale de Corralejo. Après un petit sandwich au jamon iberico (vu qu’ils n’en servaient pas à l’hôtel…), on découvre la plage de la Concha. Petit coup de coeur, notamment avec le petit miroir d’eau devant une maison bien singulière. Définitivement, si on revient à Fuerteventura dans le cadre d’un séjour “repos total”, je chercherai un hôtel soit à Corralejo soit à Sotavento, soit à El Cotillo. Un nouveau barbotage, un peu de papote au bord de l’eau en observant la marée monter relativement vite et on se remet en route !

El cotillo à Fuerteventura El cotillo à Fuerteventura El cotillo à Fuerteventura El cotillo à Fuerteventura

Volcans, ruines et écureuils

Cette fois, on s’arrête à La Oliva, un village qui a comme curiosité la casa de los colonelos (la maison des colonels). Maison que nous n’avons finalement pas visitée car nous sommes arrivés à la fermeture. Mais La Oliva a un intérêt majeur : elle est située dans une vallée entourée de volcans. Un décor époustouflant entre ces monts, la terre rouge, les cactus, les ruines… et les écureuils ! Plein d’écureuils partout, j’étais folle ! Ils étaient assez curieux car ils se plaquaient au sol et se jetaient de la terre sur le corps, je n’avais jamais vu ça.** Ces écureuils, ce décor… L’ultime pépite des vacances.

La Oliva de Fuerteventura La Oliva de Fuerteventura La Oliva de Fuerteventura La Oliva de Fuerteventura La Oliva de Fuerteventura La Oliva de Fuerteventura La Oliva de Fuerteventura La Oliva de Fuerteventura

Fin du périple

Mais avant de se faire un petit apéro cool à l’Hôtel, il faut rentrer. Le trajet du retour est assez rapide, 35 minutes mais pas de tout repos avec la traversée d’un village où l’on se croise difficilement et la fameuse route de la veille sans marquage au sol où les locaux te doublent n’importe comment à plus de 100 km/h. YOLO, je vous dis !

Une route à Fuerteventura

Et la journée se termine ainsi. Un apéro au bar de l’hôtel, un dîner peu remarquable pour changer, deux verres de cava car il faut finir la bouteille. Et, sans se l’avouer encore, un léger cafard à l’idée de notre retour. 

*Un an plus tard, je redécouvre ces lignes, j’en avais zéro souvenir…
** Un an plus tard, il me paraît évident qu’ils devaient être attaqués par les puces

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