En 2019, on refait tout à neuf

En 2019, on refait tout à neuf

Trop facile de faire rimer 2019 avec neuf ? Oui, absolument mais on s’en fout, aujourd’hui, je parle bonnes résolutions ! Ici, évidemment, c’est la “vie pro edition” et politico-citoyenne aussi, vous allez voir. Pour les résolutions plus bien-être à base de sport, d’écriture et de loisirs créatifs, on switche sur dans mes petits carnets. Bisous !

On refait tout à neuf en savourant la vie
(c) Jake Young

Une année 2018 en demi-teinte

Alors déjà, reprenons ce que j’avais décidé pour 2018 et qui concernent ma vie pro et politico-citoyenne… Ah ben pas grand chose en fait, toutes mes résolutions 2018 étaient tournées vers ma vie perso. C’est amusant, je crois que je ne l’avais pas encore formulé mais je crois que j’avais déjà inconsciemment admis que ma carrière, ça ne m’intéressait plus. Juste une résolution pour le boulot et elle est intéressante : se battre. Et je l’ai fait. Mal dans un premier temps puis bien sur le second temps mais parce que je me savais soutenue. J’ai pas réussi à déstabiliser ma chef toxique du taf 1. Mais mon chef toxique du taf 2 dégage et paraît que j’y suis pas pour rien… Je ne me fais pas trop d’illusions, hein : le mec a surtout sauté parce qu’il avait de mauvais résultats mais j’en reparlerai, de tout ça. Donc bah, à moitié rempli car je dois progresser là-dessus.

Xena la guerrièreUne longue liste de résolutions

Et on enchaîne donc direct avec mes résolutions, voici ma liste et vous allez voir, je vais avoir du mal à tenir le truc.

Lancer mon blog citoyen

Je vais pas traîner là-dessus, je veux vraiment le faire et ce pour quelques raisons très prosaïques : d’abord pour me permettre de maîtriser bien un sujet en réunissant le plus de sources possibles. Ensuite parce que j’ai envie de jouer avec l’écriture. Je réfléchis pas mal à une forme à donner à ces articles, j’ai presque envie d’en faire des mini fictions mais je ne sais pas trop comment tourner ça. Non parce qu’un truc qui m’a un peu interpellée dans cette histoire de gilets jaunes, c’est toute la bourgeoisie (au sens très large du terme) qui suit le mouvement avec mépris en mode “ils croient vraiment qu’ils font la révolution, ces abrutis ?”. Je n’ai bien sûr pas la fin de l’histoire mais ça m’inspire immédiatement une histoire où la rue se soulève et la bourgeoisie boit du vin en tenue de gala en fumant des clopes d’un air blasé. Et je me demande : plutôt que de recopier des faits, comment leur donner un peu chair ? Je n’en sais encore rien mais j’ai un travail à faire là-dessus.

Cersei boit de l'alcool

Créer des blogs “SEO oriented”.

En gros, me faire des terrains de jeu qui passeront nickel sur un CV, par exemple… En vrai, je ne sais pas encore ce qu’il va advenir de moi, professionnellement parlant. J’ai une piste intéressante pour me sortir de là où je suis mais une piste, c’est peu. Je le sens bien mais il y eut certaines pistes dans le passé que je sentais bien et finalement… Du coup, l’idée, c’est de toujours rajouter des cordes à mon arc. En maîtrisant le SEO, je pourrai repartir vers une carrière plus “écrite”.

Un copywriter au travail

Travailler mes datas analyses.

La data, moi, j’aime ça et j’adorerais travailler sur le sujet. Vous savez, j’ai un cauchemar récurrent (enfin un…) où je me retrouve avec un diplôme et à ne plus savoir que faire de ma vie par la suite. Cette année, dans un de mes rêves, j’ai eu la révélation : devenir data journaliste. Alors le côté journaliste, je sais pas mais “data”, oui. J’ai pas mal analysé de données par le passé, c’est quelque chose qui me plaît vraiment même si je ne fais que le toucher du doigt. Par contre, je ne sais pas du tout comment le valoriser encore. Ni comment procéder… Ouais, bon, de toutes mes résolutions, on sent bien que celle-ci est la plus bancale.

Datajournalisme

Trouver une réelle façon de s’engager.

Pas la politique, non, j’ai eu l’impression que de n’être un caillou du piédestal des leaders du mouvement, voyez l’idée ? L’impression de ne pas pouvoir dire blanc si ça dit noir au-dessus, ne pas avoir le droit de poser les questions qui fâchent. Non parce que bon, je veux certes écrire des articles en masse pour exprimer mon point de vue, “offrir” une synthèse de mes lectures pour essayer d’apporter des éclairages, je ne pense pas que ça suffise. La grande énigme sera donc  comment agir sans se retrouver empêtrée dans des histoires à la con ? Non parce que même dans mon ancien club de plongée qui ne pouvais servir de tremplin à personne, il y avait des clans et des manigances. Pareil pour la chorale… Ca me saoule tout ça.

Rumeurs et manigances

Ne me mangez plus !

Bref, au-dessus de cette liste, il va y avoir surtout LA résolution : arrêter de me faire bouffer. Il va falloir que je batte mon hydre ultime, celle qui me rend manipulable et corvéable à souhait : la culpabilité. J’ai été un peu molle aujourd’hui au travail ? Ah ben je vais travailler en soirée pour compenser. Sauf que bon, si j’ai été molle, c’est peut-être parce que je suis épuisée par le stress par exemple. Et surtout “gérer ma routine”. J’ai un peu essayé avec ce nouveau boulot, je m’étais fait un bujo du boulot aux petits oignons, j’avais commencé à trouver mon équilibre de la technique du 52/17 (52 mn de travail sans lever la tête, 17 mn détente que je dois consacrer à l’écriture et pas aux réseaux sociaux). Je dois arriver à organiser tout ça.

Un beau bullet journal dit bujo

Piano les réseaux sociaux

Dernière résolution  : les réseaux sociaux. Bon, globalement, on parle surtout de Twitter et Instagram. Faut que je me limite, surtout Twitter. Instagram, c’est surtout regarder des jolies photos ou vidéos. Ca n’est pas hyper utile 9 fois sur 10 mais ce n’est pas nuisible. Certains pensent le contraire mais vu que je m’en sers pas pour faire semblant d’avoir ma meilleure vie, je me sens pas trop concernée par l’Insta blues. Par contre, Twitter… C’est vraiment le réseau social auquel je suis totalement accro. C’est ma télé, ma radio. Quand certains se cultivent sur BFM TV (don’t), moi, je circule sur Twitter. L’avantage, c’est que je découvre des sujets sur lesquels je n’avais jamais réfléchi. Ca m’a énormément cultivée. J’y ai découvert des références, de la matière à réflexion car je ne suis pas toujours d’accord sur tout et parfois, je ne comprends pas les bails. Mais Twitter fournit pas mal d’angoisse aussi car tu patauges dans la haine ordinaire des racistes, homophobes, machistes… Qui peuvent parfois être d’une violence verbale intolérable. Mais que la justice ne prend pas vraiment au sérieux car bon, “c’est virtuel”. La haine est parfois subtile, on va cracher sur toujours les mêmes populations sous couvert de laïcité, par exemple. Parfois, je parcours ma timeline et je vois des choses qui me mettent en colère; tu te prends des remontées acides d’intolérance de ceux qui mordent au moindre hameçon pour spread the hate… C’est une réalité, certes, la France n’est un pays de doux bisounours. Mais je n’ai pas besoin de rappels permanents, en fait. Du coup, en 2019, d’une façon ou d’une autre, je vais limiter Twitter.

Bisounours énervé

En bref : une organisation aux petits oignons

Et voilà, ouf ! Bon, en vrai, vous l’avez compris. Ccomme chaque année, j’aspire à une meilleure organisation de mon temps pour “réussir ma vie”. Peu importe ce que ça veut dire, en fait. Et ca va notamment passer par un emploi du temps, comme au collège-lycée. Je pense que ce sujet sera largement exploré Dans mes petits carnets.

2019, bouge pas. J’arrive !

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